D’un simple relais de chasse entouré de vignes et de forêts jusqu’au domaine actuel recevant plusieurs milliers de visiteurs par an, que d’évolutions en 400 ans !
2022
Premier millésime officiellement «bio» du domaine du Cinquau : l’aboutissement d‘un souci constant de respect de l’ environnement et de 3 ans de conversion.
2010
L’arrivée de Germain Laborde en 2010, permet aux vins du Cinquau de monter sur la plus haute marche en qualité.
2007
Une nouvelle étape du développement du Domaine est franchie avec la construction d’un nouveau chai répondant aux dernières normes européennes, d’un théâtre des vignes de 450 places et d’une salle d’accueil de grande dimension pour faire rayonner le Jurançon à travers le monde.
1989
Après 5 ans de préparation des terrains, plantations, reconstruction des bâtiments, aménagements des chais voici le premier cru après plus de soixante ans d’interruption : Petit Manseng, Gros Manseng et Courbu rivalisent pour participer au renouveau de l’appellation Jurançon.
1984
Isabelle ( femme de Jean Saubot et descendante de Bétouzet) demande à un de ses enfants, Pierre, de redonner au Domaine sa vocation viticole. Il prend le statut de vigneron indépendant comme signe d‘une recherche constante de la qualité et s’associent à de nombreux jeunes vignerons de l’appellation pour créer La Route des Vins de Jurançon.
1932
Les guerres, le phylloxéra, le manque d’investissement entraînent le déclin du domaine. La dernière barrique de cette période est expédiée à un bistrot de Pau.
1750
Un des cadets de la famille fait construire l’amorce de la maison principale pour s’installer sur place et les générations s‘y succèdent, la transmission se faisant aussi par les femmes.
1617
Première trace de propriété retrouvée : la famille De Bétouzet habite alors à Andrein, à 40 km d’Artiguelouve. Propriétaires du Cinquau, ils viennent y chasser et en rapporter du vin, vignes et forêts entourant déjà le modeste bâtiment de l’époque.